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2019 : le bilan du blog et de l’année.


Et voilà, 2019 est terminé et c’est une nouvelle année qui démarre soit une nouvelle page blanche à remplir de nouvelles aventures, nouveaux projets, nouveaux voyages, nouveau tout. C’est aussi pour moi le moment de faire le point sur les douze derniers mois écoulés. Pour les curieux, les bilans des années précédentes sont disponibles dans les articles suivants : 2018 : le bilan du blog et de l’année et L’année 2017 : le bilan.

 

Côté Expatriation


Cela fait désormais trois ans que je vis au Mexique et je suis devenue à cet égard résidente permanente en mai dernier. Ce fut un long process qui mérite bien un article : ce dernier est malheureusement encore à l’état de brouillon et j’en partagerai le lien prochainement. En attendant, j’ai résumé ma vie d’expatriée dans Trois années d’expatriation au Mexique.


Côté articles sur l’expatriation en général, même s’il y en a eu moins que l’an dernier je n’ai pas été en reste. Gratin de courgettes et vin blanc est un billet d’humeur sur la solitude de l’expatrié. J’ai par ailleurs poussé mes réflexions sur le sentiment de l’expatrié dans L’expatriation : une histoire de solitude et Être expatrié : ni déraciné, ni enraciné. Dans Mes pires expériences au Mexique, j’ai enfin osé revenir sur des événements qui n’ont pas facilité mon adaptation, mais qui en définitive, ne m’ont pas achevé non plus et comme dit le dicton : « Ce qui ne tue pas nous rend plus fort ! » À l’occasion de mes 31 ans en septembre, j’ai écrit Ces 5 choses qu’on m’a prédites et qui n’étaient pas vraies : j’espère qu’il inspirera certains lecteurs à oser aller de l’avant et ce même contre l’avis général. Enfin, dans Contre la pression sociale, la liberté de choisir, je n’aborde pas directement l’expatriation mais les choix de vie en général face aux attentes de la société.


Par ailleurs, j’ai lancé cette année les monthly posts où chaque mois je fais un petit bilan et partage des humeurs, des lectures, des inspirations…Chacun est composé de la façon suivante : Côté blog, Côté expat, Côté running, Quotidien, Lu, Vu, Entendu, Fait et J’aime. J’en suis plutôt satisfaite car ça permet de se rendre compte de la richesse de ce que l’on engrange chaque année. Je me suis ainsi aperçue que je n’avais pas beaucoup lu et que je dois y remédier pour 2020. Petit détail : faute de temps, je n’ai pas publié de monthly post entre janvier et avril ainsi qu’en novembre et je le regrette.


Enfin, j’ai publié trois portraits dans la rubrique Portraits d’Expat’. C’est moins que l’an dernier mais c’est mieux que rien. Vous pouvez ainsi découvrir le portrait de Cristina, auteur du podcast Expat Heroes dans Cristina : l’expatriation comme accélérateur de développement personnel ; d’Ophélie, professeur en Angleterre, dans Ophélie : l’histoire d’une expat aguerrie amoureuse du Royaume-Uni ; et de Ségolène, en couple binational, dans Ségolène : de l’Alsace au Mexique en passant par l’Irlande. Bien qu’il ne soit pas dans la rubrique Portraits d’Expat’ mais dans l’onglet Culture/Société, je vous invite également à découvrir le projet de Coralie, expatriée comme moi au Mexique, dans Sancho Poncho ou l’histoire d’une Française à la conquête de l’artisanat mexicain.

 

Côté Vie au Mexique


La vie au Mexique est riche, intense, complexe, parfois légère, parfois pesante. C’est en fait un mélange de plein de choses et vous me direz peut-être que c’est le lot de tout un chacun. Je suis néanmoins persuadée que lorsque l’on est expatrié, on a tendance à vivre tout plus fort. Les expériences sont exacerbées, vécues de façon plus intense : j’écrirai prochainement à ce sujet. Ce qui est vraiment agréable, c’est que j’ai désormais une amie française à Monterrey. Bien que je ne sois pas particulièrement impliquée dans la communauté française de la ville qui est assez disparate, c’est un vrai soutien que d’être proche d’une personne avec une culture commune et des ressentis similaires.


Si vous souhaitez en savoir plus sur la société mexicaine, je vous invite à découvrir les articles Inégalités sociales, santé et éducation au Mexique et 10 différences entre la France et le Mexique. Si vous êtes plutôt intéressés par la culture et la gastronomie j’ai écrit : Les ingrédients de base de la gastronomie mexicaine, La tortilla sous toutes ses formes ainsi que La musique au Mexique – Celso Piña est mort : mais qui était Celso Piña ?


Par ailleurs, parce-que je recevais un certain nombre de questions par mail ou via les réseaux sociaux, j’ai rédigé : Recherche d’emploi et immigration au Mexique : réponse à vos questions. J’espère qu’il vous a été ou vous sera utile.

En ce qui concerne Monterrey en particulier (la ville où je suis expatriée) beaucoup de choses y ont changé depuis mon arrivée. La ville fait face à un véritable « boom » de la construction et l’on voit ainsi des tours pousser comme des champignons. Ce qui est malheureux c’est que cela se fait sans plan d’urbanisme concret et que la métropole est saturée. Embouteillages et pics de pollution deviennent peu à peu le lot quotidien et le gouvernement ne prend aucune mesure pour endiguer le phénomène. Le Mexique n’est certes pas réputé pour ses mesures écologiques mais ça me crève le cœur de voir que même en état d’urgence rien n’est fait et que les gens semblent vivre dans l’indifférence la plus totale.


À côté des édifices, ce sont aussi de nouveaux centres commerciaux qui ont vu le jour avec notamment l’arrivée de marques françaises sur le marché mexicain telles que Etam Lingerie, Maje, Sephora, Celio, Longchamp, Sandro ou encore Maison Kayser. C’est banal en France mais c’est une véritable nouveauté à Monterrey où jusqu’alors les marques américaines dominaient le marché.


Par ailleurs, qui dit Monterrey dit chaleur sauf que cette année, la chaleur a été particulièrement extrême. L’été a été caniculaire et nous n’avons même pas de véritable hiver. Quand j’entends encore certains dire que le réchauffement climatique est un mythe j’ai envie de leur mettre du scotch sur la bouche (et je reste polie).


Enfin, je suis bien consciente que la ville n’est pas une destination touristique au Mexique, néanmoins si vous passez par-là et que vous cherchez où vous restaurer, je vous invite à lire Mes adresses food à Monterrey.

 

Côté Blog


Voici en chiffres ce qu’a représenté le blog en 2019 :

*30 nouveaux articles publiés (contre 69 en 2018).

*11 883 visites sur l’année contre 7 167 en 2018 soit une augmentation de 74%.

*11 384 vues de post contre 7 518 l’an dernier soit une augmentation de 58%.

*5,37 min (contre 5,32 min en 2018) : c’est la durée moyenne des visites sur le site.

*Bien que Facebook (67%) et Instagram (29%) soient les réseaux sociaux qui génèrent le plus de trafic sur le site, la majorité des lecteurs découvrent le blog par recherche directe et non via les réseaux sociaux.

*Parmi les lecteurs, le blog compte plus d’hommes que de femmes : l’audience est à 54,15% masculine et à 45,85% féminine.

*La majorité ont entre 25 et 34 ans (33,5%), puis entre 18 et 24 ans (27,5%).

*44,31 % des lecteurs se connectent depuis la France, 15,69% du Mexique, 9,96% du Canada et 8,30% des Etats-Unis. Le reste, pêle-mêle, vient de Belgique, Suisse, Allemagne, Royaume-Uni et Espagne.

*Vous êtes 693 à me suivre sur Facebook (contre 606 l’an dernier) et 411 sur Instagram (contre 311 en 2018). J’ai bien essayé de me mettre à Twitter mais j’ai lâché l’affaire : je n’apprécie pas ce réseau.

*Les articles les plus populaires du blog cette année ont été : Entreprendre au Mexique, 10 différences entre la France et le Mexique ainsi que le portrait d’expat d’Ophélie au Royaume-Uni. En revanche, les posts les plus lus demeurent Culture : les repas au Mexique et Être une femme en France et au Mexique.

*Cette année, ce sont les articles « Vivre au Mexique » qui ont été le plus consultés.


Conclusion : moins d’articles postés cette année en raison de mes activités professionnelles mais une visibilité du blog qui a malgré tout augmenté. À quoi est-ce dû ? Je me le demande !

 

Côté pro

L’année 2019 n’a pas été facile professionnellement mais en fait je dirais qu’elle n’est pas facile depuis que je suis expatriée. J’ai vécu une grosse déception suite à une mission de marketing entre janvier et avril mais je crois que c’est ce qui se passe quand on n’a malheureusement pas de contrat concret avec des objectifs précis.


En mai, je me suis retrouvée face à un grand vide avec certes le blog (mais il ne génère aucun revenus) et certes la commande de textes de voyage (mais qui est très aléatoire). Autre aspect et qui n’est pas des moindres, je ne suis pas parvenue à faire publier mon livre achevé en août 2018.


Parvenue à saturation j’ai identifié deux chemins : ou rentrer en France (ce qui n’était pas une décision légère) ou entreprendre un projet que j’avais dans l’esprit depuis un certain temps. C’est finalement la deuxième option que j’ai choisie et c’est début juin que j’ai commencé à travailler concrètement à ce projet. Il a débouché le mois dernier sur le lancement de Sauvage – La novia libre, un showroom de robes de mariées de créateurs français dont le style est plus minimaliste et léger de ce qui se fait habituellement au Mexique. Pour en savoir plus, je vous invite à lire Entreprendre au Mexique.


Par ailleurs, j’ai obtenu en décembre un contrat de traduction d’une biographie historique. Le texte d’origine, qui date de 1925, est en français et j’ai pour mission de le traduire en anglais. Je ne souhaite pas en dire plus pour le moment mais je publierai prochainement un article à ce sujet. Ce que je peux en dire, c’est que c’est un travail ambitieux et passionnant, dont les revenus vont me permettre de faire grandir mon entreprise.


Enfin, j’ai validé ma première année de Licence en Humanités que je poursuis à distance mais pour laquelle je dois présenter les examens directement au sein de l’université (ce qui induit de me déplacer en France deux fois par an…) Je parle de cette licence dans les articles L’expatriation : et si c’était une opportunité pour se réinventer ? et L’expatriation, source de projets. En quelques mots, il s’agit de quelque chose que j’ai entrepris par passion mais qui est difficile à tenir sur la durée. Me déplacer si régulièrement en France est tout simplement intenable, en particulier maintenant avec mon entreprise. Andy et moi avons par ailleurs d’autres projets. Je suis donc à l’heure actuelle en train de redéfinir mes priorités.

 

Côté santé


J’ai malheureusement dû me faire réopérer du pied en août dernier. Je parlais de ma première chirurgie dans l’article Se faire opérer au Mexique / Le système de santé au Mexique. Malgré la rééducation et la mobilisation de l’articulation, un excès de fibrose s’était développé et il a fallu aller la « gratter ». Qui dit chirurgie du pied, dit recommencer la course à pied de zéro (je n’ai pas pu courir pendant six semaines) et c’est assez démoralisant. Malgré quelques complications bénignes, ça s’est tout de même bien passé.


Je me suis par ailleurs fait opérer de la vue en mars. L’objectif était de ne plus avoir à porter de lunettes car je ne supporte pas les lentilles de contact et les lunettes me gênent pour le sport. Le fait est que je ne suis pas myope (opération qui a plus de succès) mais astigmate et hypermétrope et que donc le pourcentage de réussite était plus maigre. Finalement, le résultat est que j’ai toujours besoin de lunettes pour voir la télévision, travailler sur écran et conduire la nuit avec une correction très faible. C’est donc en définitive plutôt positif. Néanmoins, les suites de l’opération ont été assez lourdes car j’ai eu une complication à l’œil droit (œil sur lequel le chirurgien a le plus tardé…) et je doute fort que je serais prête à retenter l’expérience.


 

Côté running


Comme certains le savent, je me suis mise à la course en expatriation et j’ai couru le marathon de Paris en avril dernier qui s’est révélé être une des plus belles expériences de ma vie. Je vous invite à lire à cet égard le post Le marathon de Paris : mon premier vrai marathon. J’avais couru auparavant le marathon de Monterrey en décembre 2018 : je le relate dans Le marathon de Monterrey : la fausse bonne idée ?

J’ai par ailleurs participé à différentes courses locales tout au long de l’année et bien que j’ai dû interrompre la course pendant un temps à cause de la chirurgie, je suis plutôt satisfaite. Voici les courses que j’ai complété :


- En février : le 21 km des Tarahumaras auquel j’avais déjà participé en 2018.

- En avril : le marathon de Paris.

- En juin : deux 10 km ainsi que le 21 km de Coahuila.

- En octobre : le 10 km de Rosa Fuerte contre le cancer du sein, le 21 km Regio et le 15 km de Gatorade (c’était la troisième année consécutive que je le complétais). Je reviens sur ces courses dans le monthly post du mois d’octobre.

- En novembre : le 21 km de Nuevo Leon.

- En décembre : enfin, afin de terminer l’année en beauté, j’ai couru le 31 décembre les 10 km du Reto Final à Monterrey.


Parce-que j’ai reçu un certain nombre de requêtes, j’ai écrit Mes 10 conseils pour se mettre à la course.


Enfin, en juin je me suis mise au yoga. Il y a plusieurs raisons à cela. L’une d’elle est que je ne supportais pas de courir dans la chaleur caniculaire de Monterrey et que je cherchais à m’entraîner en salle avec air conditionné. Les inscriptions dans les salles de sport étaient assez coûteuses et j’avais été suffisamment malmenée par une professeure de danse là où je prenais mes cours. Dans le même temps, je ressentais des douleurs liées à la course par manque de force musculaire et ma belle-mère étant professeur de yoga, j’ai décidé d’essayer.

Cela demeure une discipline un peu trop « lente » (je me réfère au rythme et non à l’intensité) à mon goût mais je m’y tiens car je me suis aperçue que le yoga contribue au renforcement musculaire et améliore la souplesse. J’ai bien moins de douleurs et je me sens plus énergique, c’est donc que ça marche. Je trouve que c’est vraiment un complément idéal à la course.

 

Côté voyages


Camargue, Mai 2019


J’ai moins voyagé que les années précédentes mais j’ai passé un week-end à Zacatecas en février (article à venir) entre amis et j’ai fait un grand voyage en avril/mai. Le premier chapitre de ce périple s’intitule Voyage de printemps en Europe / 1 – Le marathon de Paris, Giverny et ballades parisiennes. J’ai par ailleurs été à Malaga et Grenade en Espagne ainsi qu’en Provence et en Camargue. J’accuse un vrai retard d’articles : je les partagerai en janvier.

 

Vu, lu, entendu : ce qui m’a le plus marqué.


Plusieurs lectures, spectacles, films, séries…m’ont marqué en 2019. En voici quelques exemples…


VU :


- Les sept saisons de la série Mad Men : c’est un véritable chef d’œuvre cinématographique. Au travers d’une agence de publicité à Manhattan, on découvre la vie de la société américaine des années 60 aux années 70.

- Le film Miss Sloane où l’actrice Jessica Chastain tient le rôle d’une lobbyste acharnée.

-Le reportage à propos de Bill Gates sur Netflix : j’ai pris conscience que je méconnaissais vraiment le personnage et les interviews directes valent franchement le détour.

- La courte série Unbelievable où une jeune fille qui porte plainte après avoir été victime de viol est accusée de menteuse par les inspecteurs de police. Inspirée de faits réels, le scénario souligne comment le « système » échoue encore trop souvent à écouter les femmes et combien la parole des victimes tend à être mise en doute. Par ailleurs, plus que de se concentrer sur le viol, il se concentre sur le vécu de Marie, la victime. La série s’est basée sur l’article An unbelievable story of rape écrit par T. Christian Miller, ProPublica and Ken Armstrong dans le cadre du Marshall Project aux Etats-Unis.

- La deuxième saison de Mindhunter, sur les débuts de la cellule d’analyse du comportement au sein du FBI connu aussi sous nom de « profiling ».

- Le Monterrey International Ballet Gala avec la participation de Dorothée Gilbert, danseuse étoile de l’Opéra de Paris et Elisa Carrillo, danseuse classique mexicaine, première ballerine du Staatsballet à Berlin.


LU :


- Ce ne sont pas des livres qui ont été publiés récemment mais j’ai finalement découvert la trilogie de Katherine Pancol Les yeux jaunes des crocodiles, La valse lente des tortues et Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi. Ça a été ma bouffée d’oxygène de l’été et je me suis sentie bien seule quand je l’ai terminé. Mais il y a une suite (que j’ai bien-sûr aussi lu) qui s’appelle Muchachas.

- 42 km 195 de Bernard Thomasson où l’auteur, journaliste, raconte son marathon de Paris après avoir survécu à une transplantation cardiaque.

- Beauté fatale de Mona Cholet, un essai sociologique qui démontre, sur un mode insidieux et séduisant, comment la logique sexiste demeure au cœur de la sphère culturelle.


ENTENDU :


- Javier Camarena, un ténor mexicain, sur une des scènes de Monterrey.

- Natalia Lafourcade, mon artiste phare selon l’analyse de mon écoute Spotify (analyse assez flippante soit-dit en passant : on est fliqués !!! et décortiqués !!!)

- Le podcast Le Gratin où Pauline Laigneau interviewe chaque semaine des personnalités (entrepreneurs, médecins, sportifs, restaurateurs…) et décortique avec eux leur succès. Je le recommande vivement : c’est très inspirant.

 

Le bilan


J’entends souvent les gens dire qu’ils n’ont pas vu le temps passer. Ils sont comme étonnés que ce soit « déjà » la fin de l’année. Cela n’aura pas été mon cas en 2019. J’ai au contraire eu le sentiment de « longueurs », d’un temps qui s’étirait sans fin. Je ne sais trop comment l’expliquer bien que l’une de mes hypothèses fut le manque de mouvement, de voyages pour rompre mon quotidien à Monterrey.

Je suis donc assez soulagée de voir 2020 débuter, année pour laquelle je ne pends aucune résolution mais pour laquelle j’ai des objectifs tels que développer Sauvage (mon entreprise) ainsi que courir le marathon de Chicago en octobre.


Par ailleurs, je ne voyagerai probablement pas en France cette année ayant le projet de faire un road-trip en Nouvelle-Angleterre après le marathon de Chicago. C’est un voyage qui me tient à cœur depuis des années et prendre un vol de Chicago à Boston est très accessible. En outre, j’ai neuf bons mois pour tout planifier. Cela induit que je vais mettre ma Licence en Humanités entre parenthèses. Le coût des déplacements est trop élevé et je ne peux pas m’absenter longtemps du Mexique non plus car ma priorité est mon business.


Enfin, j’ai à cœur d’écrire plus régulièrement pour le blog, sur l’expatriation bien-sûr ainsi que sur la vie au Mexique.

Je remercie mes lecteurs qui me lisent depuis désormais deux ans. C’est une petite communauté mais une communauté quand même qui s’agrandit de jour en jour et qui donne sens à mon travail.



À vous tous, qui prenez le temps de me lire, je vous souhaite une merveilleuse année 2020.

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