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Le Monthly Post – Janvier 2020


Contrairement à ce que j’imaginais, le mois de janvier ne s’est pas révélé morose. Habituellement, après les fêtes de fin d’année, l’ambiance s’assagit, tout « retombe » et ça a tendance à me filer le blues. Mais pas cette fois-ci. En réalité, je crois que j’étais contente que les fêtes se terminent (car qui dit fêtes de fin d’année dit aussi histoires familiales…) et que j’ai été suffisamment occupée en janvier pour ne pas me laisser aller aux états d’âme.


Côté blog


Je n’ai publié qu’un article et je l’ai fait dans le cadre des Histoires Expatriées, un rendez-vous mensuel de blogueurs expatriés qui écrivent autour d’un thème commun. Cela faisait un an que j’avais laissé à contrecœur cette rubrique en suspens et j’espère pouvoir être plus assidue cette année.


Ce mois-ci, le thème a été donné par Lucie, du blog L’Occhio di Lucie, et s’intitulait « Vu d’en haut ». Libre à nous d’aborder le thème comme on le voulait. J’ai saisi cette opportunité pour parler de l’extrême pollution à Monterrey. Il s’intitule Vue d’en haut : Monterrey asphyxiée.


Sinon, au cas où vous l’auriez manqué, j’ai publié en décembre 2019 : le bilan du blog et de l’année.


Côté expat


Je ne suis pas rentrée en France pour les fêtes de fin d’année et aucun retour n’est prévu à court-moyen terme. Je suis très occupée avec ma création d’entreprise : j’avais abordé le sujet dans l’article Entreprendre au Mexique et je compte en publier d’autres sur le même thème.


Par ailleurs, Andy et moi sommes en train de planifier un voyage pour le mois d’octobre (finalement nous ne partirons pas à Seattle en juin) et qui dit rentrer en France, dit ne pas pouvoir voyager ailleurs.

C’est une question de budget bien-sûr mais aussi de disponibilité. L’an dernier, Andy n’a pris que deux semaines et demie de vacances et il est très difficile pour lui de pouvoir prendre plus de jours.


Il est certain que le quotidien à Monterrey me pèse, que je suis insupportée par le fait de devoir prendre la voiture sans arrêt, que la vie de quartier me manque mais je suis en train de monter ma boîte. On ne peut pas tout avoir.


Côté running


J’ai repris la course six semaines après ma seconde opération du pied soit en octobre dernier. J’ai participé à des courses locales et courrais de mon côté toutes les semaines au feeling. Mais depuis janvier, j’ai désormais un coach qui me fait une routine hebdomadaire, ce qui m’aide à me structurer.

Il ne s’agit pas encore de l’entraînement pour le marathon à proprement parler (j’ai partagé dans un post Instagram la nouvelle de ma participation au marathon de Chicago en octobre) mais d’une routine de maintien en forme afin que je ne perde pas ma condition physique. J’ai ainsi pris grand plaisir à courir ma première course locale de l’année, les 15 km de la Hot Chocolate Race où j’ai battu un record personnel.


Quotidien


Mon quotidien balance essentiellement entre ma boîte et un projet de traduction sur lequel je ne peux pas trop livrer de détails. Je peux néanmoins dire qu’il s’agit d’une biographie historique à traduire du français à l’anglais et que c’est aussi ambitieux que passionnant.

À côté, je cours, je fais du yoga (même si un peu moins qu’avant), je sors avec des amis, je m’éclate en cuisine avec ma Nutribullet (merci papa noël) et j’ai même trouvé une galette des rois dans une boulangerie locale d’inspiration européenne.

On a en outre un Kayzer qui a récemment ouvert (Kayzer avec un menu mexicanisé tout de même) qui proposait des galettes individuelles. La tradition existe bien au Mexique mais au lieu d’une galette, ils partagent la « rosa de reyes » comme en Espagne.



Lu


Je n’avance toujours pas dans mes lectures…Deux romans entamés mais qui ne me plaisent pas, un livre de marketing que je dois reprendre…Je vous mets néanmoins le lien d’un article du Courrier International, traduction en français d’un article de la chronique Modern Love publiée par le New York Times.


L’article Modern Love : une vie avec ou sans enfants (Don’t Put All Your (Frozen) Eggs in One Basket) aborde la question du désir d’enfants dans le couple ainsi que le phénomène de congélation d’ovocytes. Sur le même thème (mais dans une autre direction), j’ai beaucoup aimé la courte vidéo de Fiona Schmidt sur Konbini News qui expose la « charge maternelle » que subissent les femmes.


Vu


Je suis dans la deuxième saison de YOU et, contre l’avis général, je la trouve franchement moins bien que la première. J’avais trouvé le concept plutôt intéressant et bien mené au début, mais je suis désormais beaucoup moins convaincue.


Entendu


L’interview de Charif Debs dans le podcast Réelles. Charif Debs est le co-fondateur de l’entreprise de joaillerie Gemmyo qu’il a fondé avec son épouse Pauline Laigneau (dont je recommande vivement le podcast Le Gratin).

Né en France de parents libanais, Charif a travaillé dans le conseil à sa sortie de polytechnique. Il a épargné pour pouvoir ensuite faire un MBA pendant deux ans à Harvard avant de fonder Gemmyo avec Pauline. Il y parle de d’écologie, de parentalité, de politique, de gaming et même si je n’ai pas toujours partagé son avis j’ai trouvé ça riche.


Fait


Une nouvelle coupe et une nouvelle couleur de cheveux.


J’aime


Travailler sur un projet qui m’appartient même si c’est souvent galère.


Photo Instagram la plus likée du mois (il n’y en n’a eu qu’une) :


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